vendredi 30 mars 2018

Mesures salvatrices de Talon pour l’agriculture béninoise/Athanase Aguiya et La Fupro remercient le chef de l’Etat



Mesures salvatrices de Talon pour l’agriculture béninoise

Athanase Aguiya et La Fupro remercient le chef de l’Etat

Au lendemain de la décision salvatrice du gouvernement de réduire le coût de l’engrais de moitié (de 12.000 à 6000 fcfa le sac de 50 kg), Athanase Aguiya, le président de la Fédération des Unions de Producteurs du Bénin (Fupro-Bénin) sort de son mutisme pour remercier le président Patrice Talon et son gouvernement. C'était à la faveur d’une conférence de presse ce vendredi au siège de la Fupro à Bohicon.

Subventions en équipement et intrants agricoles

« 7798 tonnes d'engrais KCL et 4798 tonnes d’engrais K2SO4 seront respectivement mises à la disposition des producteurs de palmiers à huile, d'ananas, d'agrumes, et de cultures maraîchères au prix de 6000 fcfa le sac de 50 kg au lieu de 12.000 fcfa, prix en vigueur actuellement », extrait du Compte-rendu du Conseil des ministres du mercredi 28 mars 2018.
 Le Bénin, et plus précisément le monde agricole national fut émerveillé. Ne pouvant en aucun cas rester insensible à une si inattendue mais salvatrice mesure, l’ensemble des agriculteurs nationaux regroupés au sein du Fupro apprécie par la voix de leur président Athanase Aguiya, ce regard merveilleux et bienfaiteur du président de la République.
Pour le président du Fupro, le développement durable étant la somme d’actes à impact positif sur la qualité de vie des hommes et des femmes et sur leur cité, la mesure gouvernementale en question ne laisse indifférent aucun citoyen. Mieux encore la Fédération des Unions de Producteurs du Bénin regroupant toutes les filières touchées par cette mesure.

En outre, Athanase Aguiya passe par ici pour demander au gouvernement d’avoir plus attention favorable aux autres filières retenues par le PSDSA. « Nous les producteurs reconnaissons l’effort louable du chef de l’Etat dans le secteur agricole et nous espérons qu’un suivi rigoureux sera fait pour éviter le bradage de ces produits chers et indispensables pour l’intensification de la production agricole au Bénin. Par ailleurs les organisations paysannes restent disposées pour jouer efficacement le rôle qui est le leur. Monsieur le Président de la République les acteurs du monde agricole reconnaissent que ce n’est pas facile de subventionner une si grande quantité d’intrants, mais connaissant votre capacité et votre volonté de faire du Bénin une puissance agricole la Fupro-Bénin par ma voix vous demande de façon progressive de penser aussi à l’urée et au NPK », a précisé le président de la Fupro-Bénin avant de finir par se dire prêt à toute implication des acteurs directs dans l’organisation de la Journée de Réflexion sur le bon déroulement de la campagne agricole 2018-2019.

Victor Nongni


Ci-joint le discours du président du Fupro-Bénin

Siège de la FUPRO, Bohicon
Le 30 mars 2018

Mesdames et
Messieurs, administrateurs de la FUPRO-BENIN
Chers amis de la presse
Chers acteurs du monde agricole et rural
Bonjour
Le développement durable est la somme d’actes à impact positif sur la qualité de vie des hommes et des femmes et sur leur cité. C’est pourquoi toute action nous rapprochant de cet idéal devient salutaire pour le peuple et le convinc dans ses pas vers la prospérité partagée tant attendue. Nous sommes ici dans le secteur agricole, l’un des plus importants qui occupent plus d’actifs productifs et rapporte assez de devise pour le pays. Nous en sommes fiers.
Le mercredi 28 mars dernier notre gouvernement dirigé par le Président, son Excellence Patrice Athanase Guillaume TALON a pris une décision honorable et salutaire que louent tous les acteurs agricoles et ruraux de notre pays et qui porte sur la subvention des équipements et intrants. C’est pourquoi la Fédération des Unions de Producteurs du Bénin regroupant toutes ses filières touchées a décidé ce jour 30 mars 2018 de remercier officiellement le Président de la République et son gouvernement en particulier son Ministre de l’Agriculture Monsieur DOSSOUHUI Gaston et passe par ici pour demander au Gouvernement d’avoir plus d’attention à l’égard des autres filières retenues par le PSDSA. Nous les producteurs reconnaissons l’effort louable du chef de l’Etat dans le secteur agricole et nous espérons qu’un suivi rigoureux sera fait pour éviter le bradage de ces produits chers et indispensables pour l’intensification de la production agricole au Bénin. Par ailleurs les organisations paysannes restent disposées pour jouer efficacement le rôle qui est le leur. Monsieur le Président de la République les acteurs du monde agricole reconnaissent que ce n’est pas facile de subventionner une si grande quantité d’intrants mais connaissant votre capacité et votre volonté de faire du Bénin une puissance agricole la FUPRO-BENIN par ma voix vous demande de façon progressive de penser aussi à l’urée et au NPK.
Enfin, nous témoignons notre gratitude pour la décision de l’implication des acteurs directs à la journée de réflexion sur le bon déroulement de la campagne agricole 2018-2019.
Nous espérons vivement être conviés à cette journée pour apporter notre pierre à l’édifice.
Vive l’agriculture familiale béninoise,
Vive la FUPRO-Bénin
Je vous remercie 

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ADANDOZAN (1797-1818), le roi oblitéré de l’histoire du Danxomè


ADANDOZAN (1797-1818), le roi oblitéré de l’histoire du Danxomè

Effacé de la généalogie des rois du Danxomè, il est décrit comme un souverain tyrannique et sanguinaire. Qu’il nous souvienne de cette fable contée à maintes générations d’élèves sur les bancs du primaire ; celle de la femme enceinte qu’il ordonna d’éventrer afin de vérifier le sexe de l’enfant qu’elle portait.
Son crime, avoir été trop progressiste pour son époque et SURTOUT, s’être opposé à la traite négrière.
Vous l’aurez deviné, il s’agit de ADANDOZAN aussi appelé Dada Adandozan. 9ém  roi d’Abomey, il accéda au trône à la mort de AGONGLO en 1797 et régna pendant 21 ans avant d’être victime d’un coup d’état et destitué en 1818.

L’accession au trône

Adandozan de son nom de prince Akakpo était le second fils du roi Agonglo (1798-1797), l’ainé étant Adoukonou. Mais celui-ci était né avec une infirmité (orteil mal formé) ; ce qui l’écartait de la succession. Un autre de ses frères le prince Gakpe, le futur Ghézo, n’avait alors que cinq ans. C’est ainsi qu’Akakpo devint le 9ème roi d’Abomey et prit le nom de règne de ADANDOZAN qui signifie litt. ‘’La colère étalle sa natte’’.
Son emblème était la natte, la natte de la colère et sa devise, « La colère étant sa natte et personne ne peut la replier ». Devise qui plus tard prendra tout son sens.

La personnalité du roi

Comme pour beaucoup de ses contemporain(e)s, on ne sait que peu de choses de son enfance et de sa jeunesse.
D’après l’héritage oral subsistant, Adandozan (encore prince Akakpo) était décrit comme un jeune homme au caractère fort et entier, qui ne supportait pas les compromis. 
Doté d’une grande intelligence et curieux des choses, il a côtoyé dès sa tendre enfance de grands devins et maîtres en sciences occultes ; venus d’un peu partout du royaume du Danxomé et de ceux voisins surtout Yorubas, ils étaient au service du roi. De cette école d’un savoir particulier, il a acquis de grandes connaissances ésotériques.
Tout ceci (personnalité et connaissances) a concouru à faire de lui, un prince puis un roi aussi craint que respecté, à l’intérieur du royaume et même au-delà.

Un règne tumultueux

Son règne qui s’annonça similaire à celui de bon nombre de ses prédécesseurs, fut très tôt marqué par de nombreux désaccords avec ses contemporains.
Si Adandozan était un souverain danxoméen à part entière bien ancré dans son époque, il était aussi en avance sur bien de sujets, en les abordant avec une vision neuve et ‘’moderne’’. Ce qui le mettait en déphasage avec les autres dignitaires du royaume et a été la source de nombreux conflits qui ont fini par menés à sa destitution.
J’en citerai deux illustrations, parmi les plus notables.

Opposition à la traite négrière

Allant à l’encontre des intérêts en jeu, Adandozan s’était farouchement opposé à la traite négrière. Non pas qu’il fut contre l’esclavage en lui-même mais, le fait de mener des guerres afin de se procurer des captifs à vendre et qui de surcroit seraient amenés loin des terres africaines, ne lui paraissait pas judicieux. D’après des propos qu’on lui attribue, il pensait qu’il serait plus profitable au Danxomé, de faire travailler ces captifs sur son sol et d’en vendre ensuite les fruits aux marchands blancs. « Pourquoi les envoyer faire ailleurs ce qu’ils peuvent faire, ici ? »
De ce fait, il fit interdire en 1800, la vente d’esclaves pour la traite négrière abolissant ainsi, ce commerce dans son royaume. Ce qui constitua au mieux un acte téméraire et au pire une folie car, bon nombre de hauts dignitaires du Danxomè dont des princes royaux, s’enrichissaient par ce biais.
Celui-ci défiant son autorité, Adandozan fit emprisonner Chacha Francisco de Souza, l’un des plus grands négriers de l’époque qui s’était installé à Ouidah. Mais, ce dernier s’évada de sa prison avec la complicité de certains pairs du royaume et ourdit avec eux, un complot pour le destituer et mettre  à sa place le prince Gakpe, nommé alors chef des armées et grand défenseur de la traite négrière.
D’abord réticent à l’idée de trahir son roi, le prince Gakpe prit finalement part à la machination après qu’Adandozan ait vendu en esclavage sa mère la reine Agontime qui partit pour le Brésil. D’après les historiens, le but du roi était de faire comprendre aux pro-esclavagistes, la souffrance d’être ainsi séparé de ses proches.
Cet acte sans précédent dans le royaume, vint s’ajouter à une autre prise de position du souverain qui décida ses détracteurs à passer à l’action.

Rejet des sacrifices humains

Il faut préciser que le souverain n’a pas toujours eu ce point de vue. Il a lui-même, dans les premières années de son règne, pratiqué ces sacrifices, avant d’évoluer sur le sujet. Ce changement était dû selon toutes vraisemblances à l’une de ses épouses ; une blanche ou mulâtresse aux origines portugaises ou hollandaises (cela reste imprécis et diffère selon les auteurs), qui eut une grande influence sur lui et l’ouvrit à certains idéaux des Lumières en vogue à l’époque.
Pour rappel, en ce temps, les sacrifices humains avaient pour but d’envoyer des ‘‘messagers’’ rendre compte aux ancêtres dans l’au-delà, des affaires du royaume et de leur fournir aussi ainsi, des serviteurs. A cette fin, des captifs de guerre étaient désignés comme tels et sacrifiés lors de cérémonies prévues à cet effet. Mais à cette pratique qui n’avait plus ses faveurs, le roi s’opposa et fit face à la résistance des princes et autres dignitaires de la cour qui entendaient bien la maintenir.
Pour mieux faire passer son message, Adandozan, argumentant que des prisonniers de guerre maudissant le Danxomé au moment de leur mise à mort ne pouvaient rendre compte fidèlement de la réalité des choses aux défunts dans l’au-delà. En lieu et place des victimes habituelles, il prit quelques princes et princesses du royaume et les sacrifia comme messagers aux ancêtres.
Si cette pratique fut dès lors abandonnée avant de reprendre au règne suivant, il renforça le rang de ses ennemis qui prirent la décision de l’évincer définitivement du trône.

Le coup d’état royal

Ne pouvant l’assassiner, ils décidèrent de le destituer.
Mais avant tout, il fallait faire accepter l’idée par le peuple. Pour cela, les comploteurs répandirent au sein de la population de fausses rumeurs sur les actions du roi  et sa supposée cruauté, afin que celle-ci lui retire son affection et son soutien. Ils firent ensuite courir le bruit que le roi était atteint de la variole, maladie perçue alors comme une malédiction du ‘Grand Etre’. « N’ayant plus le soutien des ancêtres », ils se hâtèrent de procéder à sa destitution et Gakpe qui fut intronisé dans la foulée, prit le nom de Ghézo (1818-1858). Contre toutes attentes, le roi déchu n’opposa aucune résistance.
Interdiction lui fut faite de porter encore son nom royal, Adandozan redevint le prince Akakpo, et se retira définitivement des affaires royales.

La jarre trouée d’Adandozan

Retourné en son palais à Goho, Adandozan envoya peu de temps après à Ghézo, une jarre percée de 41 trous. En présence du nouveau roi, les serviteurs remplirent la jarre d’eau et le liquide resta dans son contenant durant 41 jours avant de s’écouler. Malgré toutes les tentatives des devins pour reproduire l’exploit, la jarre ne garda plus aucune goutte d’eau. Ghézo demanda alors à ses sujets, de boucher les trous de leurs doigts. Les Béninois connaissent tous cette symbolique de la jarre trouée.
Avec Ghézo, la traite négrière reprit et fit fleurir les affaires du royaume au détriment des peuples des royaumes voisins. Au bout de 41 ans de règne, le roi fut blessé au cours d’une expédition guerrière à Kétou et mourut peu aprés.

Epilogue

Adandozan survécut longtemps encore à Ghézo. Bien que retiré de la cour royale, ses connaissances occultes étaient toujours reconnues et respectées. Il se vit confier l’instruction d’enfants de hauts dignitaires daxoméens et d’autres royaumes alliés. Parmi ceux-ci, deux resteront à jamais dans l’histoire du Bénin. Il s’agit des princes Dassi et Condo, respectivement fils des rois Sodji (1848-1864) de Hôgbonou, actuel Porto-novo, et de Glèlè (1858-1889), fils et successeur de Ghézo. Futurs Toffa et Béhanzin, l’antagonisme entre ces deux souverains jadis éduqués ensemble, précipita la chute de leur royaume respectif.

De l’année exacte de la disparition d’Adandozan, on ne sait rien. Mais le roi d’alors Glèlè, lui fit des funérailles dignes de son rang et il fut enterré à Abomey, comme ses pairs rois.
Dans la volonté de faire disparaitre ce roi de la mémoire collective, toutes les traces de son règne furent effacées, laissant un grand vide de 21 ans dans l’histoire du royaume du Danxomé.
Mais son souvenir perdura au sein d’autres royaumes comme celui d’Ashanti (actuel Ghana), d’Oyo (Nigéria) et même au-delà, au Brésil.
De nos jours, de nombreux auteurs, historiens et afro descendants brésiliens mettent la lumière sur son règne.
Deux cents ans après sa destitution, ils demandent le rétablissement d’Adandozan dans la genealogie et l’histoire du royaume du Danxomè.

Source: Whatsapp

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jeudi 22 mars 2018

LE BILLET MATINAL DE VICTOR🌹Sébastien Ajavon et son Rendez-vous manqué🌹

LE BILLET MATINAL DE VICTOR

🌹Sébastien Ajavon et son Rendez-vous manqué🌹

Sébastien Ajavon soucieux
Meeting-Création du parti politique de Sébastien Ajavon ce Samedi 24 Mars 2018 sur le rectangle vert de son université (IUST-AS) située à Djeffa à côté de Cajaf-Comon, commune de Sèmè-Kpodji n'aura plus lieu. 

Aux dernières nouvelles, le roi de la volaille frigorifié et importé a fait parlé la raison au lieu de la passion. Selon lui, le moment n'est pas propice à la création d'un parti politique car, ce n'est pas ce dont les Béninois ont besoin.

Par ce temps de vaches maigres, selon lui, des compatriotes font face à la crise dans l'éducation (grèves interminables), sans oublier la faim qui les tenaillent face à la pitance journalière. En voilà un qui maîtrise la sociologie et la psychologie de l'humain. Puisque le ventre affamé n'a point d'oreille, Sébastien Ajavon sait qu'il ne sera pas écouté et a préféré renoncer à son meeting du samedi prochain.

Victor Nongni 
L'Aigle solitaire 🦅

Alternative pour une Sociale Gouvernance (ASG) est morte avant de naître.

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mercredi 21 mars 2018

Fiasco à Singapour/Aurélien Agbénonci: Quand l’incompétence enfourche sa trompette


Fiasco à Singapour

Aurélien Agbénonci: Quand l’incompétence enfourche sa trompette


Talon doit se séparer de son ministre des affaires étrangères si tant est que le chef de l’Etat a de grandes ambitions pour son pays. Car, ce monsieur parachuté de nulle part avec un sombre salaire extra, objet de toutes les polémiques, cet homme, disais-je, est d’une incompétence que redoutait Patrice Talon à ses débuts.

La preuve, le projet phare qu’est celui de SèmèCity est totalement plombé par la démarche bancale du ministre Aurélien Agbénonci vers les Singapouriens qui se sont proprement moqués de la délégation béninoise en visite chez eux. Incapable de restituer au chef de l’Etat béninois la cuisante mésaventure que constitue cette visite à Singapour, le ministre Aurélien Agbénonci a servi une autre version des faits à l’autorité.

L’autre aspect qui symbolise le fiasco à Singapour est l’incapacité du ministre béninois Aurélien Agbénonci à s’exprimer correctement en anglais. La langue de Shakespeare a souffert et constituait une barrière infranchissable entre la délégation béninoise et les Singapouriens. En somme, rien de bon n’a pu filtrer de cette aventure si ce n’est une villégiature savamment orchestrée sur fond de deniers publics. 

A suivre, Les sombres voyages de Aurélien Agbénonci à Kigali
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lundi 5 mars 2018

Cnpa-Bénin/Pugilat manqué entre Basile Tchibozo et son trésorier


LE BILLET MATINAL DE VICTOR

🌹Pugilat manqué entre Basile Tchibozo et son trésorier🌹

Basile Tchibozo, Pdt boxeur du Cnpa-Bénin
Jamais l'attente n'a été aussi longue. Jamais l'inquiétude n'a été aussi profonde.

Au Bénin où la Boxe est un sport populaire depuis des lustres, un gros problème se pose.

Personne, oui personne n'arrive à comprendre pourquoi le mauvais sort frappe ainsi le noble art béninois.

Les rings sont là. Vides. Chancelants. Prêts à s'aneantir. Faute d'héritiers. D'héritiers mâles.

Pourtant mon jeune frère Basile Tchibozo est là. Les muscles gonflés tel gargantuard, toujours prêt à échanger des coups de poing avec son trésorier. Le pauvre!

Comment le président d'une si respectable et noble association qu'est le Cnpa, le creuset des patrons de presse, peut-il péter le plomb à une réunion jusqu'à vouloir échanger des coups de poing avec son trésorier?  Comment?

En voilà un président digne héritier de Sowéto. Le célèbre martyr peut dormir en paix dans sa tombe sans jamais chercher à se retourner. Car, oui car, Basile Tchibozo le remplace à merveille. Véritable goujat habillé. (Interdit de rire). Il ne va pas vous rater.

J'espère qu'il ne va pas finir par taper sur les autres membres de son bureau. Tel un bourreau. Sur des badauds. Avec son goulot. Sanglots au berceau des directs, crochets et Uppercut.

C'est le quotidien du président en chef : la violence au lieu d'être gentleman.

Victor Nongni
L'aigle solitaire 🦅

Après, il me répondra dans un langage de Nouveaux Programmes. Drôle de président qui veut finir avec le Cnpa avant d'aller à la Haac. Nous l'attendons.

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